Villaines-les-Rochers

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Villaines-les-Rochers
Villaines-les-Rochers
Hôtel de ville et Musée de l'osier et de la vannerie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Tours
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Vallée de l'Indre
Maire
Mandat
Marie-Annette Bergeot
2020-2026
Code postal 37190
Code commune 37271
Démographie
Gentilé Villainois
Population
municipale
1 032 hab. (2021 en diminution de 2,27 % par rapport à 2015)
Densité 83 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 13′ 19″ nord, 0° 29′ 52″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 116 m
Superficie 12,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chinon
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Villaines-les-Rochers

Villaines-les-Rochers est une commune française du département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire, spécialisée dans la vannerie.

Ses habitants sont appelés les Villainois et les Villainoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et paysages[modifier | modifier le code]

Villaines-les-Rochers est un village situé en Touraine dans le Chinonais à 6 kilomètres du château d'Azay-le-Rideau. Son paysage se compose de vallons, descendants des landes du Ruchard (au sud) vers le rive gauche de l'Indre (au nord). Son architecture est typique des maisons de Touraine, ses jardins fleuris sont décorés de haies en osier et certaines de ces habitations sont semi-troglodytiques.

Communes limitrophes de Villaines-les-Rochers
Cheillé Saché
Villaines-les-Rochers
Avon-les-Roches Neuil

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique de Villaines-les-Rochers.

Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 11,21 km, comprend un cours d'eau notable, le Gué Droit (2,489 km), et sept petits cours d'eau pour certains temporaires[1],[2].

Le Gué Droit, d'une longueur totale de 10,7 km, prend sa source dans la commune d'Avon-les-Roches et se jette dans l'Indre à Saché, après avoir traversé 4 communes[3]. Ce cours d'eau est classé dans la liste 1[Note 1] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Du fait de ce classement, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux[4]. Sur le plan piscicole, le Gué Droit est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[5].

En 2019, la commune est membre de la communauté de communes Touraine Vallée de l'Indre qui est elle-même adhérente au syndicat d'aménagement de la vallée de l'Indre. Créé par arrêté préfectoral du à la suite des crues historiques de et , ce syndicat a pour vocation d'une part l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau par des actions de restauration de zones humides et des cours d'eau, et d'autre part de participer à la lutte contre les inondations par des opérations de sensibilisation de la population ou de restauration et d'entretien sur le lit mineur, et sur les fossés situés dans le lit majeur de l'Indre appelés localement « boires », et de l'ensemble des cours d'eau du bassin versant de l'Indre[6].

Deux zones humides[Note 2] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée du Ruisseau de la Source des Genêts » et « la vallée du Ruisseau de Villaines-les-Rochers à la Guillardin »[7],[8].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 700 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Cheillé à 5 km à vol d'oiseau[11], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 778,9 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Villaines-les-Rochers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,1 %), forêts (23,1 %), prairies (10,6 %), zones urbanisées (8,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Villaines-les-Rochers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Villaines-les-Rochers.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[23]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 542 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 542 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1996, 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999, 2012, 2013 et 2014[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Adjectif féminin bas latin villana, villa = domaine rural et suffixe diminutif ana, = terre tenue par un villanus, un paysan libre, petite exploitation agricole, tenure de paysan ; s’oppose à terre noble. Le datif-ablatif pluriel, villanis = aux exploitations, souligne le regroupement de ces exploitations.
Vitlena, (Actes de Charles II le Chauve, n° 388 ; Dom Bousquet, Recueil des Historiens des Gaules, t. VIII, p. 520, Dom Housseau, t. I, n° 75) ; Villena, Vislena, IXe et Xe s. (Bibliothèque nationale de France, collection Dom Housseau, chartes du chapitre Saint-Martin de Tours) ; Guillermus Chardonneau, parochianus de Villaenes, 1247 (Archives Nationales-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 957) ; Villanae, 1388 (cartulaire de Cormery) ; Villaines en Touraine, (Archives Nationales-JJ 209, n° 175, fol. 96) ; Villaines, (Archives Nationales-JJ 218, n° 105, fol. 60) ; Villaine, XVIIIe s. (carte de Cassini) ; Villaines, 1814 (cadastre) ; Villaines les Rochers, décret du .

Histoire[modifier | modifier le code]

Historique[modifier | modifier le code]

Vannerie troglodyte au début du XXe siècle.

L'activité vannière existe à Villaines-les-rochers depuis le VIIe siècle. Jusqu'au début du XIXe siècle, l'économie du village reposait sur l'agriculture et la vannerie. Mais la spécialité du village s'est affirmée en osiériculture grâce à la création d'une « Coopérative de vannerie » qui permettait aux paysans/vanniers de mieux négocier le prix de leurs produits. Ce village est ainsi depuis plus de 150 ans un haut lieu de l'osier et de la vannerie française, qui représente à lui seul plus d'un tiers de la production hexagonale.

Corne d'abondance sur la place du village.

Jusqu'en 1970, le métier de vannier se perpétuait de père en fils. À partir de 1975, la Coopérative connaît une évolution importante, et ouvre ses portes à des jeunes formés au métier de vannier et issus de toutes les régions de France. De 1975 à 1985, plus de 70 vanniers s'intègrent ainsi dans la coopérative et dans le village.

Le village est marqué par une tradition de confection d'objets en osier de réputation internationale.

L'osier est cultivé sur des terrains limoneux, près des rivières et des ruisseaux. Une fois coupé, l'osier est travaillé dans des ateliers parfois troglodytiques. Ces derniers permettent de conserver une humidité favorable au tressage.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
- 1983 Jean Hay    
1983 1995 Pierre Gourdon    
juin 1995 2014 Philippe Beauvillain   Président de la Communauté de communes
mars 2014 En cours Marie-Annette Bergeot SE Ingénieur
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[26].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 1 032 habitants[Note 5], en diminution de 2,27 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9241 0339169761 1021 1241 0971 1231 057
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0411 0771 0801 0421 1081 1071 0761 0311 014
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0131 0421 000892885839803990821
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
856836808932930918915922981
2015 2020 2021 - - - - - -
1 0561 0391 032------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Villaines-les-Rochers se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Langeais.

L'école primaire Erik Orsenna accueille les élèves de la commune.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le musée de l'Osier et de la Vannerie

Le musée met en scène le patrimoine identitaire de Villaines-les-Rochers. Le public découvrira le savoir-faire vannier d'hier et d'aujourd'hui, la culture de l'osier, l'histoire du village…

Espace de circulation au musée.

Il occupe l'emplacement d'un ancien prieuré vendu comme bien national en 1791 ; la ferme est rachetée par la mairie en 1901 et transformée en hôtel de ville, école et logement des instituteurs. Ces derniers bâtiments ont été réhabilités par la Communauté de Communes du Pays d'Azay-le-Rideau : le local de l'ancienne école respecte les normes thermiques actuelles. Les annexes ont été remplacées par une extension en bois avec portiques monumentaux : architecte Loïc Ruffat.

La scénographie a été conçue par Cyrille Pain du cabinet Vita Nova conception pour faire le lien entre le passé et le rayonnement contemporain : le visiteur circule dans un espace lumineux "tout en tressages, courbes et élancements à l'image des brins que le vannier dompte par son travail"[31].

La Coopérative de Vannerie
Peinture murale extérieure.

Depuis 1849, les vanniers de Villaines-Les-Rochers se sont regroupés en coopérative, qui pendant longtemps, est restée le plus grand regroupement de vanniers en Europe. La coopérative dispose d'un magasin d’exposition pour l'accueil du public et permet aux visiteurs de voir les vanniers au travail. Chaque année, à la mi-mai, elle organise un week-end de pèlerie (du verbe peler) où les vanniers montrent comment ils débarrassent l'osier de son écorce avant de le travailler[32].

L'église paroissiale Saint-André
Vestiges de l'ancienne église romane.

La nef actuelle nord-sud forme une croix avec l'ancienne église, du XIIe siècle qui était orientée Est-Ouest ; le clocher est bien conservé.

L'architecte Gustave Guérin a presque entièrement reconstruit l'édifice. La voûte en berceau fut peinte à l'huile par Henri Grandin. La décoration intérieure fut coordonnée par le comte de Galambert. Cette église est l'une des rares églises françaises à avoir conservé intégralement les peintures de la totalité de ses parois. L'agrandissement de l'église s'est fait à la demande de curé de la paroisse, l'abbé Chicoisne, qui fut également l'initiateur de la coopérative de vannerie.

Les habitations troglodytiques
Diaporama au musée.

Ce village possède un superbe ensemble de maisons troglodytiques, si la plupart sont aujourd'hui inoccupées on observe un réinvestissement et une rénovation de ces habitations. Elles confèrent au village un certain charme. Cet habitat troglodytique s'est constitué dès l'origine pour loger les habitants alors que d'autres sites sont faits de carrières réutilisées. Jusqu'au XIXe siècle il représentait une partie très importante des logements du village[33].

L'ancienne motte féodale

Au lieu-dit La Motte ; l'ancienne école des filles de Villaines se situe juste en contrebas de l'ancienne motte, aujourd'hui boisée, située au rebord de la vallée, et qu'un fossé sépare du reste du plateau. Dans les textes du XVe siècle, le site est connu sous le nom de « La Motte aux Caves-Fors ». Un souterrain s'ouvre dans une falaise retaillé en contrebas de la motte. La taille de cette dernière, probablement lors de aménagement de l'école, a profondément dénaturé le site, entraînant la destruction d'une grande partie de la cavité. Il subsiste de nos jours de cette cavité, deux caves superposées, dont l'inférieur mesure 6 × 3 mètres avec un couloir d'accès au nord-ouest, et qui communique par un trou de 60 cm de diamètre avec la cave supérieure qui mesure 3 × 2,20 mètres et haute de 2 mètres avec une banquette au nord-ouest. L'ouverture béante de 1,50 mètre de haut a dû être pratiquée lors des travaux de construction du mur est de la cour de l'école[34].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le classement en liste 1 au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
  2. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Villaines-les-Rochers », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche Sandre - le Gué Droit », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  4. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  5. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Objectifs du SAVI », sur savi37.fr (consulté le ).
  7. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  8. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Villaines-les-Rochers et Cheillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Cheillé », sur la commune de Cheillé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Cheillé », sur la commune de Cheillé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Villaines-les-Rochers », sur Géorisques (consulté le ).
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  26. Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Panneau d'exposition "L'Historique du projet" au Musée de l'osier et de la vannerie
  32. La Coopérative de Vannerie.
  33. Michel Mouy, Tourisme rural et artisanal à Villaines-les-Rochers, 1981.
  34. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 337-338.